Le Conseil Exécutif National du PLANSPA rencontre toutes ses coordinations pour discuter sur l’avenir du parti

Le Conseil Exécutif National du parti politique PLANSPA s’est entretenu ce samedi 6 août avec les responsables des coordinations départementales, communales, sections communales et ses sympathisants. Cette rencontre à été l’occasion pour la présidente dudit parti, Madame Marie Yanick Mezile Lherisson présenter ses visions et ambitions politiques pour faire avancer cette structure politique, qui depuis sa fondation, prône l’equilibrisme politique et un État fort.

Après avoir observé plusieurs mois de deuil, en mémoire du défunt, à savoir le président fondateur du PLANSPA, professeur Dieudonné Lherisson, le conseil National dudit parti a recommencé avec ses rencontres de travail pour le renforcement de cette structure qui ayant une couverture territoriale dzns un labs de temps. Ainsi, ce samedi, une importante réunion de travail a eu à l’hôtel Kinam.
C’est la responsable du parti, Mme. Marie Yanick Mezile Lherisson qui a conduit la réunion de travail à laquelle les partisans et sympathisants, les responsables des coordinations départementales, communales et celles des sections communales ont répondu à l’appel. Au cours de cette matinée de travail, la nouvelle cheffe du PLANSPA a présenté ses visions en abordant plusieurs sujets d’actualités, notamment la question sécuritaire du pays et l’aspect électoral, l’économie.
Parlant des élections, elle a attiré l’attention des autorités, plus précisément, du premier ministre Ariel Henry sur la nécessité de travailler pour rétablir un climat de paix dans le pays, pour que les élections soient réalisées en toute quiétude. D’après ses dires, les élections ne sont pas possibles vu le phénomène de l’insécurité qui sévit dans le pays.
Plus loin, l’ancienne mairesse intérimaire de la commune de Delmas a évoqué la question de crise politique dont fait face le pays. « Selon Mme Mezile, l’heure est grave. Seulement un dialogue inclusif qui peut aider à résoudre la longue crise dont le pays traverse », a-t-elle reconnu. À cet effet, elle a lancé un appel à tous les acteurs de s’asseoir ensemble, afin d’éviter le pays de continuer à plonger dans l’abîme. » kochon a pagen grès, se nou tout ki pou chita nenpòt jan sa ye pou n sove Ayiti », a-t-elle argué.

» Avec ou sans l’accord du 11 septembre, il faut une solution haitienne pour pallier la crise actuelle d’Haïti qui ne date pas d’aujourd’hui », a déclaré Marie Yanick Mezile Lherisson.
De son côté, le responsable des affaires étrangères du PLANSPA, l’ex député de Maïssade, Romain Musset en a profité pour présenter au premier ministre defacto Ariel Henry et au ministre des affaires étrangères d’Haïti les différentes revendications des migrants haïtiens surtout ceux de Chili et des États-Unis qui connaissent des moments noirs dans l’unique but de trouver leur pasport dans les consulats haitiens et une vie meilleure dans les pays d’accueil.

FCN Haïti