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La guerre en Ukraine et les nouvelles menaces nucléaires au menu du G7 à Hiroshima

Le « symbolisme sera palpable, écrit le Washington Post ce vendredi 19 mai 2023, lorsque les dirigeants des riches démocraties du monde s’assiéront à Hiroshima, la ville dont le seul nom évoque toute la tragédie de la guerre ». Le journal britannique note « que Joe Biden a d’ailleurs prévu de rencontrer des survivants de Hiroshima et de visiter le mémorial de la paix qui rend compte de cette tragédie ».

Soixante-dix-huit ans après que les États-Unis ont largué la première bombe atomique au petit matin du 6 août 1945, faisant 140 000 morts à Hiroshima, le Premier ministre japonais Kishida « entend faire pression sur ses hôtes en faveur d’un engagement sur l’abolition totale des armes nucléaires », souligne de son côté the Guardian.

Mais alors que la perspective « d’une nouvelle attaque nucléaire a été cristallisée par les récents essais de la Corée du Nord, les menaces de la Russie et le développement rapide de l’arsenal chinois, insiste le Washington Post, les autorités japonaises espèrent que la réunion débouchera sur des engagements, au-delà des platitudes, et compte sur Joe Biden pour montrer la voie ».

Le président Biden a dû « écourter brusquement sa visite », note le New York Times, contraint de rentrer à Washington dès la fin du G7, ce dimanche, afin de « poursuivre les négociations sur le plafond de la dette et éviter que les États-Unis se retrouvent en défaut de paiement ».

Par Eben-Ezer Delice
FCN-Haiti avec New York Times

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