
Le jeudi 10 mars 2022, le parti politique PLANSPA a mis son projecteur sur les femmes pour continuer à alimenter le débat pour faire respecter les droits des femmes, surtout celles les plus vulnérables. Lors de cette activité réunissait des personnalités publiques, privées, internationales et des organisations de la société civile, les responsables ont réfléchi sur plusieurs points, afin de mener un plaidoyer pour que l’intégration et le respect des droits des femmes soient une réalité.
L’avenir est féministe, obstacles majeurs à l’avancement de la lutte pour le respect des droits des femmes, penser les femmes étaient entre autres, l’ensemble des sujets débattus lors de cette journée spéciale baptisée, Jeudi PLANSPA. Pour mettre en valeur cette journée de réflexion, une pléiade d’intervenants ont répondu à l’invitation des initiateurs comme Dr. Sofia Orelus, ministre à la condition Féminine et aux droits des femmes, Mme Soeurette Policard, Dr. Fritz Moïse, Directeur Exécutif de la FOSREF, Dr Fritz Moïse, Mme. Frantzy Napoléon, M. l’ambassadeur Christobal Dupouy, représentant de l’OEA en haiti, entre autres…
Cette activité selon Alix Boucicault, s’est inscrit en droite ligne avec la mission du PLANSPA. Elle a été organisée pour porter la cause des femmes dans le débat, en vue de mettre fin à la violence faites aux femmes et aux filles, a expliqué, pour sa part, Novia Augustin, responsable de genre au parti PLANSPA.
De son côté, Frantz Neptune, le Directeur executif du PLANSPA, a rappelé fait que son parti s’inscrit dans une dynamique de créer une autre société, une vision politique collective, l’équilibriste politique ayant l’unité dans la diversité. Il prêche l’inclusion sociale à travers un État fort pour que les droits des haïtiens précisément celles des femmes soient respectés. Plus loin il a souligné que le projet de son parti tient compte de l’intérêt de tous les haïtiens sans distinction en vue de divorcer avec mes anciennes pratiques politiques.
Pour Mme Augustin, la bataille pour le respect des droits des femmes doit se fait au jour le jour. De ce fait, Novia Augustin a souligné la nécessité de l’engagement de tous à des mécanismes visant à éradiquer la violence à l’égard des femmes et des filles tout en favorisabt leur intégration dans les postes décisionnels. Pour finir, la présidente de la FEDOFEDH, a plaidé en faveur d’une meilleure allocation budgétaire pour que le ministère de la condition féminine et aux droits des femmes soit mené ses actions en faveur des femmes.
FCN Haïti